Langue et culture au Québec

INTRODUCTION

En novembre 2006, le Parlement adopte une motion reconnaissant que les Québécois forment une nation, ceci après de longs débats où le Petit Larousse, le Petit Robert et l’Oxford English Dictionary sont cités dans le but d’établir ce qu’est une « nation ». Les définitions font appel aux notions d’unité historique, linguistique, sociale, culturelle ou territoriale d’un groupe humain (Guimond, 2006). Certains s’opposent à cette motion, ce qui cause même la démission d’un ministre qui prône l’existence d’une seule nation indivisible, le Canada, et rejette ce qu’il appelle le « nationalisme ethnique » (Radio-Canada, 2006). Politiquement, le gouvernement conservateur désire plaire aux Québécois, alors que les opposants craignent le retour d’un État québécois souverainiste qui tirerait profit de cette désignation.

Voilà un exemple du cafouillis entourant les discussions qui portent sur la nature de la nation, de l’État, de la culture, de la langue et de ce qui constitue l’identité d’un peuple. Au Québec, seul État francophone en Amérique, la langue occupe une place de choix dans ces discussions, de même que la culture. Nous allons tenter de définir la nature fondamentale de ces termes, qui ont parfois plusieurs acceptions, et examiner ce qui les relie entre eux. Nous allons ensuite examiner comment la langue a acquis un statut si important au Québec par rapport à la culture et ce que cela signifie pour l’avenir.          

DISCUSSION

Nation versus État

L’État est une entité politique, légale, exerçant un pouvoir sur la population d’un territoire donné. Les personnes vivant sur ce territoire sont des citoyens de cet État, pourvus de certains droits et devoirs. Ce lien entre chaque citoyen et l’État est universel sur le territoire et n’exclut personne.

Une nation est plus difficile à définir. Une acception possible est celle d’un groupe humain ayant des institutions politiques communes et vivant sur un territoire donné, ce qui équivaut à la définition des citoyens d’un État. Ce n’est pas l’acception qui nous intéresse ici. Notre discussion portera plutôt sur la distinction essentielle entre un État et une nation : « la culture est l’élément distinctif qui permet de ne pas confondre la nation avec l’État » (Balibar, 1994). 

Dans cette acception, nous ne parlons plus de l’universalité qui unit tous les citoyens avec la construction artificielle qu’est l’État. Nous parlons plutôt ici de ce qui unit les citoyens entre eux : une culture commune. L’État et les politiciens qui en assurent la direction, ou aspirent à le faire, recherchent toujours une forme de cohérence sociale sur laquelle s’appuyer pour prendre des décisions. Cependant, dans ce contexte, l’universalité est utopique. On ne peut qu’espérer une majorité suffisante pour dégager la tendance. Au Québec, la langue française majoritaire, en opposition historique avec la langue anglaise du conquérant, constitue un puissant unificateur. Mais la langue n’est pas la culture. En fait, qu’est-ce que la culture ? 

La culture

La culture est un autre de ces termes qui possèdent plusieurs acceptions. Voyons ce qu’en disent les dictionnaires. La culture serait un ensemble de manifestations intellectuelles, artistiques ou religieuses qui définissent une société. Ce qui est défini ici, ce sont des phénomènes ou produits observables influencés par une culture et, jusqu’à un certain point, vecteurs de cette culture. Dans ce contexte, les éléments de ressemblances dans ces manifestations permettent de dégager ce qu’on appellera « la culture » d’un groupe ou d’un peuple. Une acception plus pointue, et plus juste, serait l’ensemble des formes acquises de comportements de l’être humain. Ici on parle des manifestations de la culture en tant que façons d’agir et de réagir. Nous voyons que la nature de la culture, comme la mécanique quantique, se dissimule derrière ses effets observables. 

L’élusive culture se retrouve plus fidèlement décrite à travers la définition d’agriculture : ensemble des travaux transformant le milieu naturel pour la production des végétaux. Il suffit de remplacer « végétaux » par les diverses manifestations soulignées dans le paragraphe précédent. Quels sont donc ces « travaux » et ce « milieu naturel » ? Il s’agit des réseaux neuronaux du cerveau, lesquels seront modifiés (croissance, élagage, renforcement de certaines connexions au détriment d’autres, etc.) tout au long de la vie d’un individu, et particulièrement pendant l’enfance, en réponse à son environnement et aux expériences vécues, établissant ainsi son identité culturelle. Et cette identité est à la base des observables mentionnés plus tôt, particulièrement les façons d’agir et de réagir.   Il importe de rappeler que les normes sociales font partie de la culture. Celles-ci « vont nous permettre de savoir comment se comporter, de quelle manière juger, ce qui est désirable ou ce qui ne l’est pas et vont permettre une uniformisation des comportements à l’intérieur d’un même groupe » (Delouvée et Wagner-Egger, 2022, p. 57). 

La langue

Mentionnons d’emblée que la langue est aussi inscrite dans des réseaux neuronaux, à la suite d’un apprentissage. La langue maternelle s’acquiert automatiquement au contact de l’environnement linguistique, généralement la langue parlée par les parents. Les nouveau-nés ont une capacité extraordinaire à apprendre les langues. Ils distinguent très tôt les sons de la langue maternelle, puis s’entrainent à les prononcer (babillage) pour finalement articuler les premiers mots vers un an et progresser rapidement jusqu’à l’entrée à l’école (Hallé, 2004 ; Bertoncini et De Boysson-Bardies, 2000 ; Daviault, 2011). 

Si l’apprentissage d’une seconde langue se fait pendant cette période précoce, l’enfant risque de devenir parfaitement bilingue, effectivement en possession d’une seconde langue maternelle. Par contre, un apprentissage tardif dans un cadre formel demandera beaucoup plus d’effort et la langue seconde ainsi apprise sera teintée d’un accent hérité de la langue maternelle (Defamie et Balsen Pantic, 2014).

Le rôle de la langue est d’évoquer et d’organiser dans l’esprit de son interlocuteur des concepts dont la signification d’ensemble correspond à ce qu’on désire lui communiquer. Reboul et Moeschler (1998a) rappellent qu’un énoncé contient deux types de contenu : un contenu conceptuel, correspondant à des objets réels ou abstraits et aux propriétés et actions se rapportant à ces objets (noms, adjectifs, verbes) ; et un contenu procédural, qui ne correspond pas à des « objets », mais fournit des « instructions » permettant de saisir le sens exact de l’énoncé (pronoms, temps et mode des verbes, conjonctions, adverbes).

Il semblerait donc que le contenu conceptuel agit comme un index permettant d’accéder aux concepts correspondant à ce dont on parle, alors que le contenu procédural fournit des informations qui dépassent le rôle de la syntaxe en établissant des relations de différentes natures entre ces concepts et avec le locuteur. Le premier type de contenu est celui que l’on commence à acquérir très tôt dans l’enfance, par exemple lorsqu’un parent montre une image en prononçant le mot qui correspond à cette image.

La langue maternelle est non seulement mieux maitrisée, mais elle est aussi apprise concurremment avec les concepts qu’elle décrit, ce qui la rend plus apte à exprimer exactement la pensée du locuteur que le serait une langue seconde moins bien maitrisée qui découpe la réalité à l’aide de concepts qui ne correspondent pas exactement au découpage de la langue maternelle.  La langue en soi n’influence pas les comportements, ce qui est l’apanage de la culture. Par contre, une culture se transmet et s’exprime à l’aide du véhicule qu’est une langue. Elle est le lien qui unit une culture. Cependant, partager la même langue n’entraine pas nécessairement un partage de la culture. 

Langue et communication

Assimiler la communication linguistique à la simple transmission d’une série de mots tirés d’un index prédéterminé que l’interlocuteur « décode » à l’aide du même index est extrêmement réducteur. Il suffit de considérer l’usage non littéral du langage. Dans l’usage de figures de style, telles la métaphore, l’ironie, la litote et autres, ce qui est dit ne correspond pas littéralement à ce qu’on veut communiquer. L’interlocuteur doit déduire la signification autrement que pas un simple décodage. Notons également l’importance du non verbal (gestes, regards, etc.) dans l’interprétation des énoncés.

Outre le contexte de l’énoncé, l’existence de référents communs aux locuteurs en présence facilite la compréhension et permet une communication plus fluide. Cela s’étend à d’autres usages du langage. Reboul et Moeschler (1998b) rappellent l’exemple d’un père qui demande à son enfant de se laver les dents et celui-ci répond « Je n’ai pas sommeil ». Dans ce cas, le comportement appris (une manifestation de la culture commune au père et à son enfant) est de se laver les dents avant d’aller au lit. L’enfant a compris que le père voulait communiquer qu’il était temps de se coucher.La communauté de culture facilite la communication en permettant une plus grande variété d’usages de la langue et la simplification des énoncés. À l’opposé, par souci d’être compris, la communication entre locuteurs ayant des référents ou des cultures qui diffèrent utilisera un langage plus près du « code », et sera généralement moins satisfaisante. Il existe donc ce qu’on pourrait appeler une « impédance linguistique » à arrimer entre les locuteurs pour permettre une communication maximale. Comme en électronique, l’absence d’un arrimage d’impédance satisfaisant entre des composantes peut compromettre certains signaux (en électronique, cela est fonction de la longueur d’onde de ces signaux). 

La situation du Québec

Linteau (2008) brosse un tableau de l’organisation politique et sociale du Québec entre 1850 et 1960. L’industrialisation cause d’abord l’urbanisation d’un peuple d’agriculteurs qui se retrouve confronté à des technologies d’origine britannique ou américaine, toujours accompagnées de termes anglais pour les décrire. La langue des affaires et celle des patrons est l’anglais. Les entrepreneurs anglophones implantent de grandes entreprises : sociétés forestières, centrales électriques, des usines de pâtes et papier et autres. L’économie canadienne-française s’installe graduellement, à une plus petite échelle : marchands, certaines banques et compagnies d’assurance. Dans les années 1920, les produits américains pénètrent le marché à grande échelle. La grande entreprise, contrôlée de Toronto ou des États-Unis, marginalise l’entreprise locale et menace une économie francophone fragile. On assiste à une division ethnique du travail où les emplois les moins intéressants sont occupés par les Canadiens français. Après la guerre, on assiste à un regain de prospérité pour tous. Des élites francophones mieux éduquées émergent. Celles-ci n’acceptent pas le statut économique et linguistique inférieur qui leur est réservé et exigent des changements.

Ce mécontentement relativement à une situation de diglossie va conduire à des bouleversements importants au cours de la décennie 1960-1969. Robert (2008) passe en revue certains éléments notables : création du ministère des Affaires culturelles et de l’Office de la langue française ; manifestations par le Rassemblement pour l’indépendance nationale (RIN) en faveur de l’unilinguisme français ; émeute lors du défilé de la Saint-Jean-Baptiste ; la « crise de Saint-Léonard », mettant en cause la liberté de choix de la langue d’enseignement, les immigrants préférant se tourner vers l’école anglaise ; la radicalisation du Front de libération du Québec (FLQ) ; le « Vive le Québec libre ! » du général de Gaulle ; les projections des démographes évoquant la possibilité que Montréal devienne une ville à majorité anglophone ; la Commission Laurendeau-Dunton sur le bilinguisme et le biculturalisme.

La commission Laurendeau-Dunton revêt une importance particulière en raison de son effet sur la politique fédérale : adoption de la Loi sur les langues officielles en 1969 et, deux ans plus tard, l’adoption de la politique du multiculturalisme. Le Canada se dote de deux langues officielles, mais d’aucune culture officielle.

En 1974, la loi 22 du Québec proclame que le français est la langue officielle, mais maintient le libre choix de la langue d’enseignement pour autant que les élèves aient une connaissance suffisante de cette langue. En 1977, la loi 101 limite l’accès à l’école anglaise à la communauté anglophone du Québec et instaure des mesures pour obliger la francisation des entreprises ainsi que l’affichage public et la publicité commerciale en français. La loi crée aussi plusieurs organismes : l’Office de la langue française (assistance aux entreprises, qualité de la langue, terminologie) ; la Commission de surveillance de la langue française (enquêtes sur le respect de la loi) ; le Conseil de la langue française (conseils au ministre) ; la Commission de toponymie (attribution des noms de lieux) (Rocher, 2008).

Au cours des 50 dernières années, le statut des francophones et du français dans la société québécoise s’est beaucoup amélioré, en partie grâce aux effets de l’intervention gouvernementale sur la langue. Cette incessante bataille pour assurer la primauté du français, dont plusieurs aspects ont dû se régler devant les tribunaux, a cristallisé le français comme l’élément central de l’identité québécoise. Cela est facile au Québec puisque c’est le véhicule de la culture fortement majoritaire. Cela est plus difficile au Canada, devant composer avec deux langues officielles de caractère universel véhiculant deux cultures majoritaires dans deux régions géographiquement distinctes. Le gouvernement canadien se contente généralement de défendre les droits des minorités linguistiques, et de centrer l’identité canadienne sur le respect des droits de la personne et la richesse du multiculturalisme. 

La situation de certains pays est encore plus complexe. C’est le cas de l’Indonésie, qui compte 700 langues, dont aucune n’est majoritaire. La langue officielle y a été élaborée à partir de différents dialectes indonésiens, sans en privilégier aucun. Cette langue, acceptée par la majorité de la population, symbolise l’unité nationale dans un pays multiculturel et multilingue (Leclerc, 2022). Cela dénote l’importance accordée à une langue commune.

Le combat pour la langue n’est pas terminé au Québec. Il ne se passe pas une journée sans qu’un aspect ou un autre de ce combat ne surface dans l’actualité : seuils d’immigration par rapport à la capacité d’intégration et de francisation, nombre et provenance des étudiants étrangers, langue des travailleurs étrangers, les demandeurs d’asile, la quasi-absence de francophones sur certains conseils d’administration, l’application de la loi 101 au cégep, la capacité à se faire servir en français dans les commerces, etc. Chaque nouvelle information ou statistique isolée suscite de fortes réactions dans la population. Le Conseil supérieur de la langue française met en garde contre les interprétations hâtives d’observations disparates sans considération d’un contexte plus large et complexe. Le Conseil souligne que des améliorations notables sur la situation du français passent parfois inaperçues (2013).

Ces combats ne sont pas seulement motivés par un besoin de maintenir le statut du français, mais aussi le besoin d’assurer sa survie. La croissance de la population au Canada dépend largement du solde migratoire, qui comptait pour 80 % en 2017 (Université de Sherbrooke). Une immigration de langue maternelle francophone au Québec est donc hautement désirable, de même qu’une capacité de francisation importante pour les immigrants non francophones.

L’intense intérêt porté à la langue relègue souvent la question de la culture au second plan. Si on considère l’immigration francophone, les bassins principaux sont la France et l’Afrique de l’Ouest. 90 % des francophones de moins de 30 ans résideraient sur le continent africain en 2070 (Organisation internationale de la francophonie, 2022). Malgré une langue commune (d’une variété différente), la culture des immigrants n’est pas la même que celle qui existe au Québec. Comme les langues en contact, les cultures en contact s’influencent l’une l’autre et il faut considérer non seulement l’intégration à la société québécoise, mais aussi l’impact de la culture externe sur cette société. À ce chapitre, les questions d’orthopraxie religieuse font souvent réagir la population, de même que le traitement réservé aux femmes dans certaines cultures. Chose certaine, dans un contexte d’immigration nécessaire, le folklorique « Québécois pure laine » est appelé à disparaitre.Les moyens de communication actuels (télévision, cinéma, internet, vidéos, réseaux sociaux, etc.) permettent les contacts entre les cultures autres que par des contacts directs entre les individus. Dans ce cas, on se soucie souvent de l’influence d’une langue anglaise dominante, mais il faudrait porter plus d’attention à la culture, et plus spécifiquement à ce qui influence le comportement. Des manifestations artistiques tels chansons, spectacles ou autres ne sont pas susceptibles d’avoir beaucoup d’influence en ce sens, mais tout ce qui expose ou représente une façon d’agir en société peut avoir une influence significative, en particulier chez les jeunes en quête d’une identité, si l’exposition est répétée et n’est pas balancée par une culture locale inculquée par les parents et le système d’éducation. Mentionnons seulement, à titre d’exemple, la violence physique pour régler des différends, l’attitude envers les femmes et les minorités, l’endoctrinement à certaines causes, et l’utilisation des armes à feu. Pour ce qui est de la violence verbale et de l’incivilité observée de plus en plus dans la société, les réseaux sociaux ont permis de banaliser ces actions en éliminant le frein naturel qui restreint les êtres vivants d’en attaquer d’autres : la crainte pour leur propre sécurité physique.  

CONCLUSION

La culture se traduit par des comportements, des façons d’agir et de réagir. La langue est le véhicule de la culture. L’apprentissage de la langue maternelle commence très tôt. Cette langue est la mieux adaptée pour communiquer fidèlement des concepts puisque ces concepts sont appris concurremment avec la langue. L’apprentissage d’une langue seconde demande des efforts et sa parfaite maitrise est très peu probable. De plus, une langue seconde découpe la réalité du monde en concepts qui ne correspondent pas exactement à ceux de la langue maternelle. La langue est plus qu’un simple code. L’existence de référents communs ou de culture commune entre locuteurs permet des raccourcis et des emplois non littéraux qui facilitent la communication.

Pour des raisons historiques, les francophones du Québec, majoritaires, se sont retrouvés en situation de diglossie devant l’anglais dominant. Depuis le milieu du vingtième siècle, les gouvernements ont déployé des efforts importants pour corriger cette situation, avec un certain succès. Cependant, le combat pour maintenir le statut du français et assurer sa survie se poursuit, particulièrement dans un contexte où la croissance de la population dépend largement de l’immigration. Les discussions sur la langue prennent beaucoup de place, occultant parfois les éléments liés à la culture qui risquent d’influencer la société, non seulement en ce qui a trait à l’immigration, mais aussi à travers les moyens de communication modernes.            

Références

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Bertoncini, J. et De Boysson-Bardies, B. (2000). La perception et la production de la parole avant deux ans. Dans M.Kail et M. Fayol (dir.), L’acquisition du langage en émergence de la naissance à trois ans. chap. 4, Paris, France.

Conseil supérieur de la langue française. (2013). Redynamiser la politique linguistique du Québec. [Avis au ministre]

Daviault, D. (2011). L’acquisition du lexique. Dans L’émergence et le développement du langage chez l’enfant. Montréal, Québec : Chenelière Éducation.

Defamie, A. et Balsen Pantic, J. (2014). Théorie de l’Esprit et bilinguisme : Avantage des bilingues dans les tâches affectives et cognitives? Cognitive Sciences

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Hallé, P.-A. (2004). Acquisition du langage : spécialisation des enfants dans leur langue maternelle. French National Centre for Scientific Research, Paris, France. 

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